quand le FN était aux commandes


article de la rubrique extrême droite
date de publication : mercredi 22 janvier 2014
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À l’heure où le parti de Marine Le Pen concentre ses efforts pour remporter aux prochaines élections municipales le plus de villes possible, retour sur trois exemples de gestion par le Front national sur le mode : « Ils l’ont voulu, ils l’ont eu. » Une enquête de France Culture en trois parties – trois émissions de 28 minutes chacune.


Vitrolles

De 1997 à 2002, Vitrolles est administrée par le couple Mégret. Plus de dix ans plus tard, les habitants racontent la vie dans une ville d’extrême droite et les conséquences d’une gestion qualifiée par certains de « totalitarisme municipal » sur la culture, les finances de la ville, et l’action sociale.


Reportage : Rémi Douat. Réalisation : Rafik Zénine.
Chanson de fin : "Ils ont voté" par Léo Ferré. [1]

Toulon

De 1995 à 2001, Jean-Marie Le Chevallier, élu du Front national, administre la ville de Toulon. Contrairement à Vitrolles qui s’est imposée comme un laboratoire idéologique, la gestion de Toulon se distingue par l’impossibilité pure et simple d’appliquer le programme annoncé par le FN.



Reportage : Rémi Douat. Réalisation : Marie-Laure Ciboulet.
Chanson de fin : "Carreer opportunities" par Les Clash. [2]

Orange

En 1995, Jacques Bompard est élu sous l’étiquette du Front national à Orange. Depuis lors, son action municipale se concentre sur le centre-ville et laisse volontairement les quartiers périphériques et l’aide sociale publique dans un dénuement complet. Avant les municipales de mars, l’émission de France Culture les Pieds sur Terre et Mediapart vous proposent une enquête sonore et écrite sur la manière dont l’extrême droite a géré des villes.

En 1995, Jacques Bompard est élu sous l’étiquette du Front national à Orange. Depuis lors, son action municipale se concentre sur le centre-ville et laisse volontairement les quartiers périphériques et l’aide sociale publique dans un dénuement complet.



Reportage : Rémi Douat. Réalisation : Benjamin Hû
Chanson de fin : "Youth Against Fascism" de Sonic Youth paru en 1992 sur l’album "Dirty". [3]


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