Des activistes s’opposant à la déforestation, à l’extraction minière ou à des projets d’agrobusiness, des locaux cherchant à défendre leurs terres ou leur communauté, ... ils sont tués pour s’être opposés à des projets néfastes pour l’environnement.
"L’ONG Global Witness a recensé des assassinats dans 22 pays.
60 % d’entre eux ont eu lieu dans un pays d’Amérique latine, où de nombreux activistes s’opposent à des projets miniers ou forestiers.
C’est au Brésil que le nombre de victimes est le plus important : 57 sur cette seule année, alors que l’extraction minière et la déforestation s’accroissent de jour en jour.
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À ces assassinats, commis aussi bien par des groupes paramilitaires que des forces gouvernementales, s’ajoutent d’autres violences que l’ONG n’a pas comptabilisées. Menaces, expropriations, disparitions et même agressions sexuelles sont également monnaie courante."
(Lire l’article de Claire THOIZET sur https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Environnement/INFOGRAPHIE-2017-annee-noire-defenseurs-lenvironnement-2018-07-24-1200957352?utm)