LES ARTICLES DE LA RUBRIQUE
• libérée, enfin ! Kylie Moore est libre
• Kylie Moore-Gilbert, détenue depuis 2018
• l’avocat Salah Hamouri devrait être expulsé
• le coordinateur de BDS a été libéré
• Syrie, la guerre et l’impunité
• non à l’annexion des territoires palestiniens
• la cour pénale internationale encourage les Palestiniens
• journée internationale des prisonniers politiques
• le plan Trump rompt avec le droit international
• a t-on peur des études postcoloniales ?
• Yemen, la résistance yéménite avance
• mobilisation nationale pour contrôler la vente d’armes
• Naama Asfari, figure de la résistance pacifique
• Yémen, une honte pour l’humanité
• les Palestiniens sont des êtres humains, pas des cibles
• arrêtez de tirer sur les enfants et sur les journalistes
• Rohingyas : épuration ethnique
• privations, prisons, occupations : Palestine
• pétition contre l’impunité en France
• Kofi Annan et Desmond Tutu : l’Afrique ne doit pas quitter la CPI
• la CPI, “arme du droit contre les dictatures”
• Mgr Desmond Tutu : Blair et Bush devraient être jugés à La Haye pour l’invasion de l’Irak en 2003
• lettre ouverte au sujet du pôle spécialisé dans les crimes internationaux
• un procès historique en France sur les crimes commis sous la dictature chilienne
• justice internationale : la France ne doit pas devenir une terre d’impunité
• un ancien diplomate tunisien condamné en France pour avoir torturé en Tunisie
• le boucher des Balkans échappe à la justice internationale
• le procès de Saddam Hussein doit être équitable et perçu comme tel par l’opinion publique
• France - Guantanamo : d’une zone de non-droit à une autre ?
LA SECTION
article de la rubrique international > justice internationale
date de publication : vendredi 1er janvier 2021
version imprimable :
Kylie Moore-Gilbert a été libérée d’Iran après plus de 800 jours de détention.
"C’est la fin d’une longue épreuve pour Kylie Moore-Gilbert. La chercheuse australo-britannique, spécialiste du Moyen-Orient, a été libérée d’Iran, mercredi 25 novembre 2020, après plus de 800 jours de détention. Elle avait été condamnée par le régime iranien pour espionnage au profit d’Israël. Sa libération a été acceptée par Téhéran en échange de trois Iraniens. Bien que soulagée de recouvrer la liberté, la chercheuse a reconnu que son départ d’Iran allait avoir un goût « doux-amer », et ce, en dépit des « injustices » subies." [1]